À Paris, les jeunes contraints de tricher pour se loger
par LePointActu
AÀ Paris, le marché de l'immobilier locatif frôle parfois l'absurdité. Un étudiant avec un bon garant a plus de chances de trouver un logement qu'un jeune actif bien rémunéré. Léa est réalisatrice pour une boîte de production parisienne. Durant l'été 2019, cette journaliste de 23 ans aux cheveux blonds tirés en arrière se met en quête d'un T2 autour de 1 000 euros par mois. Elle gagne en moyenne 2 700 euros net chaque mois et dispose d'un bon garant, mais son statut d'intermittente du spectacle est synonyme d'instabilité pour les agences immobilières.https://www.lepoint.fr/immobilier/a-paris-les-jeunes-contraints-de-tricher-pour-se-loger-22-07-2020-2385224_31.php
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