115.386 véhicules immatriculés en février contre 150.000 en février 2019 et 2020. Les constructeurs pensaient voir le bout de la crise sanitaire avant l'été mais voilà que les conséquences de la guerre en Ukraine se font déjà sentir, en particulier pour l'approvisionnement. L'industrie est donc contrainte de freiner sa cadence faute de pièces, comme c’est le cas chez Michelin à Cholet ou encore chez PSA à Rennes.
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