Actu en vidéo

"À chaque fois qu'on confine, on perd à peu près 10 milliards" (Eric Heyer)

par franceinter

Signaler

Anne-Laure Kiechel, conseillère économique, et Eric Heyer, Directeur du département analyse et prévision de l'OFCE, sont les invités du Grand entretien de France Inter.Plus d'infos : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-02-fevrier-2021

Lecture automatique

Oui Non

Autres vidéos

Tous publics

Annuler la dette ? Si jamais ça va avec une refonte totale de l'Europe, c'est envisageable, mais pas dans les affaires courantes gérées maintenant " (Anne-Laure Kiechel)
Tous publics

"Parmi les secteurs qui tirent leur épingle du jeu, il y a tout ce qui est autour du numérique" (Eric Heyer)
Tous publics

"Aujourd'hui il y a 30% de faillites en moins par rapport à une année normale, parce qu'on a mis sous cloche les problèmes" ( Eric Heyer)
Tous publics

"Les réponses à la crise ont été très différentes aux Etats-Unis et en Europe" (Anne-Laure Kieche)
Tous publics

"L'épargne des ménages a énormément augmenté pendant cette crise, mais attention : 20% des ménages les plus aisés concentrent 70% de cette épargne" (Anne-Laure Kiechel)
Tous publics

"Il faut réfléchir en terme de branches fragilisées" (Anne-Laure Kiechel )
Tous publics

"En moyenne, les ménages sont plus riches en 2020 qu'en 2019, il y a plus d'argent sur les comptes en banque aujourd'hui" (Eric Heyer)
Tous publics

"On a détruit que des emplois précaires, c'est des ménages modestes qui sont derrière ça, et l'autre point central, c'est les jeunes, une catastrophe pour l'avenir" (Eric Heyer)
Tous publics

Anne-Laure Kiechel - Eric Heyer : "L'angle mort, c'est une augmentation de la pauvreté et des inégalités"
Tous publics

Youri Djorkaeff : "Didier Deschamps s'est adapté, bonifié avec son équipe. Il fait symbiose avec son équipe."
Tous publics

Anne-Laure Bonnet : "Même sans pandémie, les joueurs vivraient dans leur bulle. Pour une compétition internationale, on se met ensemble dans une bulle dès une semaine, quinze jours, avant."
Tous publics

Pierre-Louis Basse : "Il n'y a rien de plus pathétique que de se prendre pour les favoris et regarder les autres de haut. Une erreur a été commise par la France en 2002, lorsqu'on n'a pas eu honte de mettre la deuxième étoile sur les maillots."
Tous publics

Pierre-Louis Basse : "Benzema est un immense joueur. Il a payé sa dette. Cinq ans ! Laissez-le jouer, laissez-le nous faire rêver. Il a peut-être fait une connerie, mais il a payé."
Tous publics

Roxana Maracineanu : "Le retour de Karim Benzema n'était pas évident, c'est le choix de Didier Deschamps de l'avoir sélectionné. Il a su passer au-dessus de distensions personnelles pour ne regarder que son talent et sa progression."
Tous publics

Roxana Maracineanu : "L'organisation même de l'Euro 2021 sur 11 pays européens, la reprise du football, même si ça va être compliqué pour les joueurs et les supporters, c'est aussi une symbole de réouverture des frontières et du vivre ensemble."
Tous publics

Youri Djorkaeff : "Quand on a un groupe comme le nôtre, avec des fortes individualités et un très fort collectif, on donne envie, on a une force. Est-ce que ça fait peur ? Sûrement. Mais ce qui compte, c'est ce que la France ressent."
Tous publics

Roxana Maracineanu : "En compétition, je me concentrais toujours sur le début : une compétition comme celle-là se construit. Ce n'est pas parce qu'on s'est entraîné ou qu'on a eu les meilleurs résultats que la compétition est gagnée d'avance."
Tous publics

"La santé est un bien commun", estiment les économistes Anne-Laure Kiechel et Eric Heyer
Tous publics

"Bien sûr que les Bleus sont favoris !" : table ronde sur l'Euro 2021
Tous publics

Roxana Maracineanu, ministre des Sports : "Quand on parle de foot féminin, on parle aussi de la place de la femme dans notre société"
Tous publics

Roxana Maracineanu : "Aux Etats-Unis, le football est beaucoup plus pratiqué par les filles, dès l'école (...) En France à part trois ou quatre clubs, on n'est pas dans le même cadre qu'aux Etats-Unis"
Tous publics

Roxana Maracineanu : "Pour que ça marche, il ne faut surtout pas que les joueuses sachent qu'on attent tout ça d'elles, qu'elles ne se sentent pas les ambassadrices d'une cause"
Tous publics

Anne-Laure Bonnet : "Ce qui est important, c'est que des jeunes filles voient que des femmes jouent au football".
Tous publics

Roxana Maracineanu, ministre des Sports, échange avec une auditrice footballeuse : "La réalité, c'est que foot reste un sport machiste, il faut le dire. La Fédération française de football va devoir faire un choix"

Un "pur Parisien" qui s'exile : Jimmy Mohamed raconte sa vie loin de la capitale avec Souailla et leurs 3 enfants

9 novembre 2024 - purepeople

Liens commerciaux