A bord des premiers bus vers Alep-est, entre joie et effroi
par AFP FR
Il y a peu, il fallait compter dix heures en bus et un détour semé de dangers pour se rendre de l'ouest à l'est de la ville syrienne d'Alep, mais pour des dizaines d'autres habitants, une demi-heure a suffi samedi. Ces Alépins sont allés revoir leur maison qu'ils avaient fuie à cause de la guerre. Pour la première fois depuis 2012, des bus gouvernementaux verts ont traversé la ligne de front qui a divisé pendant quatre ans la deuxième ville du pays, passant de la partie gouvernementale, à l'ouest, à l'ex-quartier rebelle de Massaken Hanano, à l'est. IMAGES ET SONORES.
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