24H du Mans. Un tour embarqué dans la Porsche qui partira en pole, ce samedi

par Ouest France

A l'occasion des 24 Heures du Mans, Ouest-France vous propose découvrir le circuit de la Sarthe, en embarqué dans la Porsche qui a signé la pole, ce jeudi. Montez à bord avec Laurens Vanthoor. Long de 13,629 km, le Circuit de la Sarthe, au Mans, est l'un des grands monuments de la course automobile. Un circuit rapide, pas forcément compliqué, mais qui se démarque surtout par sa difficulté via les conditions changeantes. Avant la course, Laurens Vanthoor, engagé sur la Porsche n°6 qui partira en pole position, vous propose de décrypter le circuit des 24 Heures du Mans. “Ce n’est pas difficile de connaître ce circuit, tant on va le parcourir un certain nombre de fois. Ce sont les conditions changeantes, tout au long de la course, qui en font sa difficulté. La pluie, le sec, l’humidité, les changements de températures. Le trafic aussi. La difficulté est surtout là.” Pilote de la Porsche n°6 en Hypercar, Laurens Vanthoor est candidat à la victoire, ce dimanche, en Sarthe. Le Belge décortique le circuit de la Sarthe, ses pièges et ses passages mythiques. La ligne droite des stands "Ici, c’est la ligne de départ et d’arrivée. Qui lance un tour de 13,629 km, ce qui fait du Mans un circuit long. On aura beaucoup de monde au départ, c'est toujours un endroit très spécial pour nous." L’enchaînement Dunlop "On entre dans les virages Dunlop. Le premier droit, ça passe à fond. Mais la chicane n’est pas facile. Il ne faut pas prendre les bordures, en courses, car ça abîme la voiture." Les esses de la Forêt "On redescend aussi vers les virages de la Forêt. Ce sont des virages penchés, donc on peu rentrer un peu plus tôt, avec de la vitesse. Il faut surtout avoir une bonne sortie de virage." Le Tertre Rouge et les Hunaudières Le Tertre Rouge, c’est pareil : c'est très important de sortir fort parce que c'est une longue ligne droite après. Il faut faire attention aux limites de la piste aussi. La ligne droite des Hunaudières permet de souffler, meme si on peut atteindre les 340 km/h. La chicane Daytona On peut ici anticiper le trafic, car on le voit de loin. On freine autour des 150 mètres avant le virage. On descend jusqu’au deuxième ou troisième rapport.C’est difficile, ici, car on peut freiner tard, mais il faut sortir fort, avec la longue ligne droite. La chicane Michelin La deuxième chicane, on freine un poil plus tard que sur la première, autour de 100 mètres. On descend jusqu’à la troisième vitesse. Pareil, il faut freiner tard, mais en même temps, il faut avoir la meilleure sortie possible. Le virage de Mulsanne Mulsanne c’est très difficile parce qu’on arrive très vite et on peut facilement bloquer les roues. On descend jusqu’à la première vitesse. Là aussi, il faut penser à la longue ligne droite derrière, et donc il faut être précis en sortie de virage. Le virage d’Indianapolis

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